Par où commencer pour se distinguer de la compétition | La rédaction web avec Alexandra Martel
Vous avez une entreprise et vous vous demandez comment faire pour rédiger des textes intéressants et vendeurs? Vous ne savez pas par où commencer ou comment vous y prendre pour amener les clients à interagir avec votre contenu? On répond à ces questions dans cet article-entrevue.
À la suite de la formation sur la rédaction web d’Alexandra Martel, présentée par l’Office québécois de la langue française en mars dernier, on en a profité pour lui poser quelques questions sur ce même sujet. Fondatrice de son entreprise, Les mots pour vendre, Alexandra a formé des milliers de personnes à rédiger des textes plus captivants et plus vendeurs depuis 2017. Voici donc ses trucs et astuces afin de mieux maîtriser la rédaction et vous démarquer de la concurrence.
Les bonnes pratiques pour la rédaction de contenu web en français
On a discuté avec Alexandra des bonnes pratiques pour rédiger efficacement ainsi que de ses astuces pour y arriver. Elle a tenu à nous rappeler durant l’entrevue que l’écriture, c'est difficile et qu’on ne doit pas se mettre trop de pression au jour 1. C’est avec la pratique et l'entraînement que l’on devient plus à l’aise et agile dans notre rédaction. C’est avec ceci en tête que l’on a discuté des enjeux du français et de la rédaction.
Quelles sont les astuces pour captiver l'attention des lecteurs ?
Il faut « porter plus d’attention à la première phrase. Souvent, à cause de notre éducation, on a tendance à tourner autour du pot en début de texte.» Pour mettre en contexte le lecteur, on veut s’assurer qu’il ait toute l’information nécessaire pour sa compréhension de la suite. Par contre, sur le web, le lecteur veut aller droit au but. Que ce soit sur les médias sociaux ou sur une page À propos, si le lecteur n’est pas intéressé par la première phrase, il passera rapidement au contenu suivant sans s’arrêter sur votre contenu. Il est donc primordial d’avoir un début de texte captivant, surtout pour un texte de vente.
Autre élément à garder en tête : l’humain aime les histoires, les anecdotes, les potins. N’hésitez pas à raconter l’histoire de votre boutique, l’inspiration derrière le nouveau plat de votre menu ou encore présentez l’employé clé de votre entreprise. Ce sont des éléments qui interpellent les clients et les incitent à lire votre texte. Alexandra nous mentionnait qu’elle adore commencer une histoire en plein milieu. Son exemple, « Je me suis enfermé dans les toilettes, j’étais terrifié… tout d’un coup, tu te demandes pourquoi la personne est enfermée dans les toilettes et tu as envie de comprendre, tu as envie de savoir la suite, c’est plus fort que nous. » L’humain s’exprime en histoire, il veut comprendre ce qui s’y produit.
Posez-vous la question, est-ce que vous trouvez votre texte intéressant, est-ce que vous-même vous arrêteriez pour le lire dans votre fil d’actualité Facebook? Si la réponse est non, repensez-y encore un peu avant de le publier. Laissez le reposer et revenez-y plus tard, de nouvelles idées pourraient avoir fait surface.
Comment adapter son style d'écriture à son public cible ?
C’est important de savoir à qui l’on parle lorsque l’on rédige pour convaincre. En effet, un client sera beaucoup plus interpellé par un texte qui parle de sa propre réalité qu’un texte trop général ou un exemple hors de son milieu.
Si vous avez un seul public, que tous vos clients se ressemblent, c’est plus simple, on rédige un texte et il conviendra à tous. Si, au contraire, vous avez trois ou quatre clientèles différentes, la tâche peut devenir plus complexe, on doit donc s’adapter.
Attention, on ne vous recommande pas de faire quatre pages À propos adaptées à vos clientèles, mais lorsque possible, des textes adaptés peuvent grandement aider à la conversion de vos actions.
Par exemple, si l’on fait de la publicité en ligne, on peut facilement créer une publicité adaptée au public A et une au public B.
Alexandra donne l'exemple d’une publicité qu’elle a créé pour l’une de ses formations. «Je ciblais autant des travailleurs autonomes en service, que des artisan.es qui vendent des produits. Ils n’ont pas les mêmes enjeux. Donc, au lieu de faire une seule publicité Facebook, je faisais deux pubs différentes. Je faisais une publicité qui ciblait les artisans qui parlaient de la difficulté de vendre en pandémie […] et, à côté, j’avais une publicité qui s’adressait aux travailleurs autonomes et qui parlait de leurs enjeux. Il faut profiter du fait que sur internet, on a accès à plusieurs canaux différents. Il est mieux de faire deux textes, un pour chaque situation, que d’essayer de rassembler tout le monde dans un même texte. C’est l’erreur que plusieurs entrepreneurs font. »
Quel serait ton principal conseil pour un entrepreneur qui a peu de temps pour rédiger ses textes ?
On a demandé à Alexandra LE truc qu’elle donnerait aux gens qui manquent de temps, mais qui souhaitent tout de même se lancer dans la rédaction pour leur entreprise. Elle nous mentionne ceci: « Faites des tests audios pour commencer. » En effet, on ne s'exprime pas de la même manière à l'écrit et à l'oral la plupart du temps et notre discours de vente est généralement déjà bien établi oralement. Alors, enregistrez ce que vous souhaitez dire et écoutez-vous. Ceci pourrait bien être le texte qu’il vous faut pour convaincre votre public de poursuivre la lecture de votre site ou de venir vous visiter en boutique.
Évidemment, il y a une foule d’autres trucs qui vous permettent de bien rédiger pour le web.Alexandra nous a, entre autres, mentionné les outils de correction et les nombreuses formations disponibles en ligne qui vous aideront à vous démarquer de la compétition, etc.
Pour conclure, Alexandra souhaitait partager le truc qui l’aide beaucoup. N’ayez pas peur de rédiger une «première version gênante», une première version d’un texte que l’on ne partage pas nécessairement. C’est un premier jet qui nous permet de mettre en place ses idées puis d’y revenir plus tard pour le retravailler. Cette technique permet de ne pas se censurer et d’avoir tous les éléments en place afin d’arriver au bon texte.
Pour soutenir votre entreprise et les bonnes pratiques de l’utilisation du français, nous vous invitons également à consulter les outils disponibles sur le site de l’Office québécois de la langue française et y découvrir l’outil Memo, mon assistant pour la francisation.
Pourquoi mon entreprise devrait avoir un site web en français?
Saviez-vous qu’au Québec, c’est SEULEMENT 57% de la population active qui utilise le français au travail? On se rend à 96% de la population si l’on considère les gens qui utilisent 2 langues au travail. Ces statistiques sont éloquentes, le français est essentiel pour rejoindre les gens au Québec.
Dans le cadre d’une collaboration entre Québec numérique et l’Office de la langue française (OQLF), notre équipe vous présente une série d’articles sur l’importance de la langue française dans le virage numérique de votre entreprise.. Le premier de cette série; pourquoi avoir un site web en français?
Nous vous présentons ici quelques bonnes raisons d’investir le temps nécessaire sur un site web en français.
Plus qu’une obligation : Loi 101, article 52
Une excellente raison d’avoir un site web en français est qu'au Québec, selon la loi 101, toute entreprise qui a une adresse sur le territoire se doit d’offrir sa publicité en français. En effet, si l’adresse de votre entreprise est située au Québec votre site web se doit d’être au moins aussi complet en français que dans une autre langue, à moins d’exception. Tous les contenus publicitaires et les communications de votre entreprise, dont votre site web fait partie, sont sujets à cette loi. Cette loi implique que les pages d’informations, les pages produits et tout autre information pertinente doit être disponible pour les utilisateurs francophones.
Évidement que si vous offrez des cours d’anglais,par exemple, le contenu de ceux-ci n’ont pas besoin d’être traduits, mais le site web dans son ensemble doit être en français.
Nous vous invitons à consulter le texte de loi sur le site de l’OQLF afin de connaître les spécificités de la loi.
Offrir un service à la clientèle adéquat
Au Québec, un site web en français permet d’offrir un service à la clientèle de qualité. Souvenez-vous de la dernière fois où vous êtes arrivé sur un site en anglais et que vous ne trouviez pas ce que vous cherchiez simplement parce que le terme en anglais ne vous revenait pas ou simplement parce que vous ne parliez pas la langue. Qu’avez-vous fait? Plusieurs utilisateurs quittent simplement le site web et ce n’est pas ce que vous voulez provoquer comme réaction chez vos clients potentiels.
Pour éviter que ce type de situation se produise, un site web en français est essentiel. À garder en tête également; ce ne sont pas tous les Québécois qui parlent une deuxième langue. Vous pourriez perdre des ventes si votre site n’est pas optimisé pour être lu dans la langue courante de votre région. De plus, plusieurs consommateurs québécois ne font pas autant confiance à un site web dans une autre langue que la leur. C’est donc une opportunité de les convaincre plus facilement en mettant l’effort d’offrir un service à la clientèle et une expérience complète en français. Une fois le site web traduit, assurez-vous également que ce soit simple pour l’utilisateur de passer d’une langue à l’autre afin de le guider facilement vers ce qu’il recherche.
Optimiser votre site web pour les moteurs de recherche
Si vous avez déjà fait une recherche sur Google ou un autre moteur de recherche, vous savez que les sites qui ressortent correspondent à votre recherche. Comment est-ce que ça fonctionne? De façon très brève, Google, par exemple, lit votre site pour en connaître le contenu et l’affiche lorsqu’une recherche qui y correspond est faite. Donc, si votre site n’est pas dans la même langue que ce que recherchent vos clients, vous ne paraîtrez pas, ou presque jamais dans les résultats potentiels. C’est pourquoi il est important de faire une recherche de mots clés et de les inclure dans vos textes et communications web. De cette façon, votre site aura plus de potentiel à apparaître dans les résultats de recherche de vos potentiels clients.
Le web étant dominé par le contenu anglophone, spécialement au Québec, c’est une opportunité de se démarquer des géants en offrant du contenu de qualité en français. De plus, plusieurs marques et fabricants anglophones ne prennent pas le temps d'optimiser leur contenu francophone. C’est donc une opportunité pour vous de vous démarquer dans cette langue. Les moteurs de recherches prennent également en compte la localisation de l’utilisateur lors de sa recherche. Si votre contenu est dans la bonne langue et proche de lui, vous aurez d’autant plus de chances de, premièrement, apparaître et, deuxièmement, être son choix pour répondre à ses questions.
En plus de respecter la loi, offrir un service à la clientèle à la hauteur et optimiser la découvrabilité de votre site web, offrir un site web en français contribue à la santé de notre langue. Nous vous invitons à suivre nos activités avec l’OQLF afin de vous familiariser à l’intégration du français dans votre quotidien numérique..
Vous voulez de l’aide pour accomplir ce projet ou mieux utiliser le français en milieu de travail? N'hésitez pas à nous contacter pour un accompagnement!
Les 10 clés de la vente en ligne
Elle prenait déjà de l’expansion depuis les dernières années, mais elle est devenue presque incontournable depuis le début de la pandémie, nous vous parlons bel et bien de la vente en ligne!
Vue comme une belle opportunité par certains d’entre vous, ou au contraire comme une bête noire pour d’autres, la vente en ligne doit respecter certaines règles pour fonctionner à son plein potentiel.
Il y a quelques semaines, 100% NumériQC a eu la chance de recevoir en webinaire Maude Lavoie, entrepreneure, conceptrice de site web et formatrice pour nous dévoiler les 10 erreurs qui vous empêchent de vendre en ligne. Lors de cette formation, Maude, également spécialiste Shopify, a décortiqué point par point les 10 erreurs les plus courantes à ne pas commettre pour vendre en ligne et en a profité pour fournir une grande quantité de bons conseils. Si vous avez manqué cette occasion, retrouvez l’intégralité de la formation sur la chaîne YouTube de Québec numérique. Nous ne pouvons que vous inciter à visualiser cette mine d’or, ce sera 1h de votre temps bien investi, c’est promis!
Pour les pressés, nous vous avons concocté un condensé de cette formation sur la vente en ligne. Découvrez le sans plus tarder.
1. Bien identifier les besoins de son CLIENT
Cette phrase paraît d’une grande évidence … et pourtant ! Souvent la tête dans le guidon, il est facile de passer à côté de l’essentiel des besoins de ses clients. Pour cela, voici une première astuce : prendre du recul, se positionner à la place de notre client “coeur de cible” et se demander “pour trouver mon produit sur Google, que vais-je écrire sur un moteur de recherche”. Bingo! Vous voilà déjà en train d’écrire la liste de mots clés que vous n’aurez plus qu’à placer judicieusement dans le contenu de votre site internet.
Pour ceux qui veulent aller plus loin, il est possible d’utiliser des outils, comme par exemple Ubersuggest pour identifier les termes de recherche les plus utilisés par les internautes et s’inspirer de nombreux mots clés connexes en fonction de son secteur d’activité et de sa région!
2. Ne pas avoir une page d’accueil trop chargée
Nous le savons, la page d’accueil est la première et peut être même la dernière chose que le client va voir sur son écran concernant votre produit ou activité. Ainsi vous voulez tout lui montrer le plus rapidement possible. Malheureusement le cerveau humain ne retiendra que quelques-unes de ces informations. C’est pourquoi, au lieu de tout vouloir dire, il est plutôt préférable de se concentrer sur un seul message à faire passer.
Le client doit comprendre en 5 secondes : qui vous êtes, ce que vous vendez, votre valeur ajoutée et dans certains cas, comment utiliser le produit. Pas plus, pas moins. Pour cela, une deuxième astuce : éviter le carrousel de la page d’accueil qui donne trop d’informations et surtout en bien trop de temps.
3. Parlez de vous!
Trop timide, peur de ne pas être intéressant, ou vous n’y avez simplement pas pensé ? Pour différentes raisons vous avez choisi de parler de vos services, vos produits, mais jamais de vous-même. Pourtant, les dernières études sur les tendances de consommation démontrent que la population québécoise s’intéresse de plus en plus au marché local et cela se traduit en partie par la recherche de la mission, de l’histoire, de sens et d’éthique d’une entreprise. Ainsi, parler de votre démarche aidera votre consommateur à comprendre votre entreprise, votre produit, d’où il vient et donc pourquoi il est préférable d’acheter celui-ci plutôt qu’un autre.
4. Intégrer des fiches produits complètes et détaillées
Contrairement au magasinage en boutique, lorsqu’il s’agit d’un achat en ligne, le consommateur ne peut pas toucher le produit. Il est donc essentiel de lui donner un maximum d’informations sur ce dernier. Faites donc des descriptions détaillées : composition, utilisation, accessoires complémentaires, etc. En fournissant un maximum de contenu, avec bien évidemment des mots-clés (repensez à votre petite liste du point numéro 1 ci-dessus), vous allez, en plus, plaire à Google ou tout autre moteur de recherche. Pour faire encore mieux, afin de satisfaire vos visiteurs les plus paresseux et distraits, voici une nouvelle astuce : pensez à utiliser des icônes, symboles ou autres illustrations pour décrire votre produit!
5. Bannir les frais cachés
Avez-vous fait le choix d’attendre le dernier moment pour annoncer à votre client les frais de livraison qui s’appliqueront à sa commande ? Mauvaise idée! Mieux vaut un consommateur avisé, qu’un visiteur qui se sent piégé. Affichez clairement vos frais de livraison, délais de préparation, ainsi que votre politique de retour et vous constaterez que cela ne sera pas néfaste à la vente, bien au contraire. D’après Poste Canada : “78 % privilégient les détaillants qui gèrent les attentes à chaque étape du parcours client”.
6. Simplifier au maximum la navigation de votre site Web
Sans vouloir les citer, certains sites internet bien connus du grand public sont de vrais casse-têtes. Une vente en ligne doit pouvoir se faire rapidement et sans tracas. Comme dirait Maude Lavoie : “votre client doit pouvoir acheter en ligne sur votre site tout en brassant de la sauce à spaghetti”. Pour cela, simplifier un maximum la navigation de votre site. N’hésitez pas à le faire tester par des amis ou de la famille correspondant à votre clientèle cible afin d’avoir des avis neutres et différents. Dites-vous que votre grand-mère doit elle aussi y arriver. Si ce n’est pas le cas, c’est que votre navigation est encore trop compliquée.
7. Testez votre site sur un téléphone cellulaire
Lorsque nous réalisons notre propre site internet, nous le faisons obligatoirement depuis un ordinateur. Mais il est important de se rappeler que ce ne sera pas forcément le cas de vos internautes. En moyenne, un visiteur sur deux se rendra sur votre site internet depuis son téléphone intelligent. Cette proportion pourrait même atteindre les 90% si vous utilisez les réseaux sociaux pour faire de la publicité. Pensez donc à bien vérifier que la navigation soit idéale, autant sur ordinateur que sur cellulaire. Pensez également à tester la rapidité de votre site depuis un téléphone en wifi, connecté uniquement au réseau mobile ou encore dans un endroit ayant peu de réseau (encore une astuce de plus).
8. Automatisez votre processus global de vente en ligne
Le temps moyen que vous allez consacrer à vos ventes en ligne va essentiellement dépendre de votre degré d’automatisation. Enregistrer la commande, envoyer un courriel de confirmation, envoyer un courriel lors de l’expédition, enregistrer les nouveaux clients dans une base de données, faire des relances et de la fidélisation auprès de vos clients, etc. Des solutions d’automatisation existent pour chacune de ses étapes.
Certains renoncent à l’automatisation par manque d’information sur les outils disponibles, par peur des coûts associés ou de la complexité de la mise en place. Si c’est votre cas, nous rappelons que 100% NumériQC est justement là pour vous aider à y voir plus clair sur vos besoins, les solutions les mieux adaptées à votre structure et pour vous accompagner dans cette mise en place. N’hésitez pas à nous contacter.
Pour d’autres, l’automatisation s’oppose au côté humain rendant ainsi la vente en ligne encore plus distante des clients. Sachez que si votre automatisation est bien faite, ce sera tout le contraire! N’est-il pas plus chaleureux de recevoir un courriel personnalisé avec son prénom pour être remercié de sa commande ? De même pour s’assurer que le produit reçu a été à la hauteur de ses attentes ? Sans automatisation, une surcharge de travail et hop, le service client passe à la trappe par manque de temps. Posez-vous toujours la question, si vos ventes en ligne explosent, pourriez-vous assurer le même service client à tous vos clients sans automatisation ? En moyenne l’automatisation apporte 60% de ventes supplémentaires alors que seulement quelques ventes en ligne de plus peuvent amortir l’intégralité de vos investissements en automatisation, pensez-y!
9. Ne pas confondre réseaux sociaux et réseaux publicitaires
Les réseaux sociaux sont une plateforme idéale pour vous exprimer et parler de vos offres promotionnelles, mais tout ce qui peut être perçu comme de la publicité ne doit être qu’une minorité de vos contenus sur les réseaux sociaux. Il est primordial de varier un maximum les informations transmises à vos clients sur Facebook, Instagram, ou tout autre médias sociaux. Parlez de vos produits, mais aussi de vous, de vos valeurs, vos clients, votre quartier, votre personnel, etc., mais ne faites pas trop de publicité directe, au risque de voir augmenter votre liste de désabonnements. Rappelez-vous toujours de vos 4 missions sur les réseaux sociaux : inspirer – divertir – éduquer – convaincre.
10. Plutôt multi, ou mono canal ?
Il n’y a pas que Facebook dans la vie! Ce n’est pas parce qu’un canal marche particulièrement bien avec vos clients que vous ne devez n’utiliser que lui. Pour élargir votre cible et donc faire croître vos ventes en ligne, utilisez le plus grand nombre de canaux possibles. Vendre en direct sur votre site internet ne vous empêche pas de vendre aussi sur Amazon. Vendre sur Facebook ne vous empêche pas non plus de vendre sur Google Shopping. Dans la vie, comme dans la vente en ligne, variez les plaisirs! Mais attention, une étape à la fois, c’est toujours plus gagnant. Quand un fonctionne bien, qu’il est bien rodé et compris, alors on peut passer au suivant.
Pour conclure
Si cet article vous a été utile, ou s’il a piqué votre curiosité concernant la vente en ligne, nous vous invitons encore une fois à consulter l’intégralité de la formation ICI.
Encore mieux, s’il vous a convaincu de revoir votre stratégie de vente en ligne ou d’améliorer l’automatisation de celle-ci, contactez l’une de nos chargées de projet pour y voir plus clair dans les étapes à suivre.
Nous rappelons que 100% NumériQC est un service gratuit, offert par la Ville de Québec pour ses commerçants ayant pignon sur rue ou disposant d’une adresse d’affaire à Québec et que nos chargées de projets vous accompagneront de façon neutre et transparente puisqu’aucune entreprise privée n’est directement associée à 100% NumériQC.
Au plaisir de répondre à toutes vos questions, via ce formulaire.
SEO: tout ce que vous devez savoir pour optimiser votre référencement
Qu’est-ce que le SEO ?
Le SEO, ou le search engine optimization, fait référence à l’optimisation d’un site web dans le but d’être mieux classé dans les résultats des moteurs de recherche comme Google.
Un principe qui semble simple et qui, pourtant, est complexe et abstrait pour plusieurs: avec plus de 200 facteurs d’évaluation pris en compte par Google pour déterminer le classement d’un site web, il y a effectivement matière à être désemparé lorsque vous décidez d’optimiser votre référencement.
Voilà pourquoi 100% NumériQC vous propose La checklist SEO pour les commerces locaux , l’outil qui vous permettra de maximiser les résultats de votre travail en concentrant vos efforts sur les éléments qui influencent le plus votre référencement. L’objectif: être l’un des sites du top 5 des résultats car ceux-ci génèrent près de 80% du trafic des utilisateurs.
Pourquoi est-il essentiel de maximiser son SEO ?
Le SEO est primordial pour être bien référencé et se retrouver dans le top 5 mais, plus encore, il s’agit d’un élément critique de la stratégie numérique des commerces locaux. Jetons un coup d’oeil à ce que nous disent les statistiques de Think with Google à ce sujet:
C’est 90% des gens qui recherchent une entreprise locale sur leur mobile 1 fois par semaine; d’où l’importance d’être présent!
C’est 71% des utilisateurs qui disent rechercher une entreprise locale pour confirmer son emplacement avant d’y aller pour la première fois; avoir une fiche d’entreprise à jour pourrait bien vous amener de nouveaux clients.
C’est pas moins de 18% des recherches locales sur mobile qui se concluent en une vente dans la même journée; le SEO est peut-être un travail sur le long terme mais une fois que le site est bien référencé, les résultats peuvent être immédiats!
C’est 78% des recherches locales sur mobile qui permettent de conclure une vente hors-ligne; le SEO, ce n’est pas seulement pour les entreprises qui vendent en ligne.
La checklist SEO par 100% NumériQC
La checklist SEO pour les commerces locaux vous permettra d’évaluer où vous en êtes avec le référencement de votre site web et d’ainsi bien cibler les actions à prendre pour optimiser votre présence sur les moteurs de recherche. Très simple à utiliser, la checklist vous présente les éléments à considérer pour améliorer votre référencement: vous pouvez cocher ceux que vous avez déjà mis en place et ceux que vous devriez travailler. Et voilà, vous avez un plan de match, il ne reste qu’à se mettre au travail!
Vous pensez avoir besoin d’aide supplémentaire pour optimiser votre SEO? Contactez-nous pour valider votre admissibilité à notre programme d’accompagnement gratuit.
Colloque sur le Web sémantique au Québec - éditions 2016 à 2018
S’il est important pour le Québec d’aujourd’hui, à l’ère du numérique, de maîtriser le Web sémantique dans sa transition vers une économie numérique, il demeure que cette appropriation et cette transition en cours demandent de l’accompagnement ; les différentes éditions du « Colloque sur le Web sémantique au Québec » (2016-2018) présentent à cet effet du contenu de niveau avancé dans le but de mettre en lumière les multiples avantages dans la maîtrise du Web sémantique, et ce, dans plusieurs contextes - qu’il s’agisse d’éducation, de gestion d’entreprise, de développement communautaire... N’hésitez pas à consulter le site Web pour obtenir une foule de contenus pertinents pour vous familiariser avec cette notion!
- Pour une vidéo introductive : « Le Web sémantique en 10 minutes (version 2018) ».
- Lien direct vers le Colloque 2016.
- Lien direct vers le Colloque 2017.
- Lien direct vers le Colloque 2018.
Sous licence Creative Commons Attribution 4.0
Cahier des charges : création d’un site Web
La Machinerie, en collaboration avec ses partenaires Québec numérique et Culture pour tous, a développé un outil afin de vous aider à entrer de plain-pied dans l’ère numérique : « Cahier des charges : création d’un site Web » (2018). Téléchargez-le ici.
Un site Web est un incontournable pour la présence numérique, qu’il s’agisse d’une vitrine, d’un diffuseur de contenu, d’une plateforme de e-commerce ou d’une plateforme de gestion, un site Web doit faire l’objet d’une réflexion aboutie. Il doit s’intégrer dans les réflexions stratégiques.
Que vous ayez besoin d’effectuer la refonte de votre site Web existant ou d’en créer un à partir de zéro, cet outil vous accompagne de l’idéation et du design du projet jusqu’à la comparaison des différentes offres de services entre elles pour faire un choix éclairé (voir l’onglet « Plateformes et offres de services »). Cet outil peut vous être d’une aide précieuse pour structurer vos réflexions et pour le montage de votre investissement.
Il est à noter que cet outil est publié sous la licence BY-NC-SA issue des Creative commons afin de réglementer sa circulation dans le respect des droits de ses auteurs. Les droits associés sont donc les suivants :
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À quoi servent les métadonnées dans un contexte culturel?
Vous diffusez et faites la promotion de contenu culturel sur le Web afin qu’il trouve son public? Qu’il s’agisse d’un film, d’une exposition, d’un spectacle, ou de toute autre création, pour que ce contenu soit toujours facilement découvrable sur la toile, il est nécessaire de consigner de manière efficace vos métadonnées!
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Cet outil a été développé dans le cadre du Plan culturel numérique du Québec.