5 tendances numériques à adopter en 2023

L’univers du numérique est continuellement en changement et l’année 2023 ne fera pas exception à la règle ! Au gré des technologies, les habitudes de consommation évoluent tout aussi rapidement. Avec la hausse des frais de publicités numériques, les entreprises cherchent de plus en plus à tirer leur épingle du jeu et obtenir le meilleur retour sur investissement possible.

Vous n’êtes pas la seule entreprise à vous poser ces questions ! L’astuce par excellence est de s’assurer de délivrer des messages cohérents et que le coût publicitaire corresponde à la stratégie mise en place, mais pas seulement. Il vous faut aussi être aux devants des tendances. C’est pourquoi notre équipe demeure à l’affût des nouveautés pour vous. À l’approche de la nouvelle année, on a cru bon de vous faire part de nos observations jusqu’ici.


1. Marketing de contenu

Selon le récent sondage de Ressac et Léger, 78 % de la population canadienne n’aiment pas les publicités en ligne. L’étude qu’ils ont menée démontre même que l’approche traditionnelle dans le numérique n’a pas du tout la cote ! Sans réelle surprise, les gens cherchent avant tout du contenu intéressant lorsqu’ils naviguent sur le web. Multifonctionnel, multicanal et multiformat, il y a maintenant du contenu pour tous les sens ou presque.

Le contenu vidéo un incontournable

Depuis longtemps, on entend que le contenu vidéo est le format ultime pour générer de l’engagement. En 2023, c’est plus qu’un incontournable ! Avec la montée en popularité de TikTok, les autres plateformes sociales compétitionnent, elles aussi, afin de mettre le format vidéo de l’avant plus que jamais. Ce n’est pas pour rien que YouTube demeure à travers le temps l’une des plateformes les plus consultées. La vidéo est captivante ! Elle fournit plus d’informations en moins de temps. À ce propos, la vidéo de courte durée, en format vertical (9:16) est maintenant un impératif pour capter l’attention de votre audience.

Le contenu audio et le balado

Que ce soit la fatigue oculaire ou l’envie d’un contenu plus étoffé, toujours selon Ressac, 56 % des Canadiens et Canadiennes écoutent désormais des balados. C’est donc la preuve que le contenu audio gagne en popularité et peut être un vecteur de croissance à ne pas négliger. Si votre entreprise cherche à rejoindre une audience éduquée et/ou prospère, ce format constitue une opportunité en or de les cibler. Le balado se prête particulièrement bien aux sujets précis ou plus nichés. On vous invite donc à explorer (si ce n’est pas déjà fait) le potentiel de ce type de contenu en 2023 !

La formation en ligne

Popularisées par la pandémie, les formations en ligne nous ont permis de conserver un lien de proximité. Que votre modèle d’affaires soit en B2B ou en B2C, c’est un contenu qui demeure apprécié des différents types de consommateur·trices pour sa flexibilité et l’intérêt du contenu partagé. Cette formule nécessite de la préparation, mais vous offre la possibilité d’interagir directement avec votre cible.

Et les plateformes sociales dans tout ça ?

Les spécialistes de la communication le savent, l’attention des auditeurs et auditrices se fractionne depuis un bon moment. Depuis peu, nous assistons aussi à un phénomène de décentralisation des plateformes sociales. À cela s’ajoute aussi l’importance de se coller aux normes de chaque plateforme. Bref, il y a de quoi donner mal à la tête de n’importe quelle entreprise ! Heureusement, il existe des façons d’optimiser sa création de contenu.


2. Marketing d’influence

Bien qu’il existe un énorme fossé générationnel lorsqu’il est question d’influenceurs ou d’influenceuses, il n’en demeure pas moins que leur rôle est indéniable dans le processus d’achat des 35 ans et moins. Et ce n’est qu’une des raisons qui explique l’augmentation des investissements dans le marketing d’influence, une tendance qui n’est pas prête à s’estomper. Non seulement c’est un moyen efficace pour atteindre de nouveaux marchés potentiels, mais c’est aussi une façon d’augmenter ses parts de marché. Si le retour sur investissement vous préoccupe, voici quelques façons de s’assurer que l’effort en vaut la chandelle.

L’influence en direct !

La diffusion en direct est très populaire auprès des créateur·trices de contenus, tant sur Instagram que sur TikTok. De plus, l’achat en direct est un format d’influence à fort potentiel de conversion et donc, de retour sur investissement. En quoi consiste l’achat en direct ? Un influenceur·trice ou un créateur·trice de contenu est connecté en Live sur une plateforme pour décrire et essayer un produit. Pendant la diffusion, l’audience est appelée à poser des questions et acheter le produit directement sur la plateforme. Étant un format apprécié des internautes de par son authenticité, c’est un puissant outil de conversion !

Maximiser l’effort d’influence

Faire appel à des influenceurs ou influenceuses, c’est bien. Réutiliser le contenu généré par ces derniers, c’est encore mieux ! Votre entreprise peut facilement partager leurs contenus créés pour optimiser la variété de son calendrier de contenu. Avant, les entreprises engageaient à tâtons quelques influenceur·ses ici et là puisqu’elles étaient incertaines des retombées. Aujourd’hui, on assiste davantage à des campagnes à grande échelle où les entreprises interpellent plusieurs influenceur·ses d’un seul coup pour générer un engouement à des moments stratégiques.

Une autre façon d’optimiser sa campagne d’influence est en faisant appel à des micro/macro influenceurs, car leur taux de conversion est souvent plus élevé dû à leur audience très engagée. Vous pourriez aussi tenter une campagne de contenus générés par les utilisateur·trices (UGC) motivée par un challenge ou un concours et accompagnée d’un hashtag spécifique. Une autre option serait de miser sur l’influence des parties prenantes de l’entreprise ; des employé·es aux partenaires. Finalement, retenez qu’un partenariat d’influence à long terme vaut tout autant son pesant d’or qu’un client·e fidèle.


3. Expérience client·e

Une expérience client·e réussie repose sur la maximisation des réponses émotionnelles positives chez les client·es. Elle passe immanquablement par l’optimisation des points de contact afin de réduire les frictions potentielles, sans oublier l’importance de la voix de chaque client·e.

Avec l’essor des technologies, le consommateur·trice est devenu·e plus exigeant·e. Heureusement, l’ensemble du parcours client peut bénéficier de ce même essor en palliant entre autres à la pénurie de main-d’œuvre. Grâce au numérique, il est possible de fournir en temps réel de l’assistance, des informations, des solutions et de répondre dans des délais rapides.

De plus, les habitudes volatiles des consommateurs et consommatrices demandent aux entreprises d’assurer une assistance sur de multiples canaux. C’est pourquoi une stratégie omnicanale est importante pour offrir une meilleure expérience client·e et assurer la fluidité des points de contact ; du site web au commerce physique, en passant par les médias sociaux.

Personnalisation et données client·es

On ne le dira jamais assez, la personnalisation de l’expérience client·e est essentielle afin de rester compétitif dans un marché qui évolue aussi rapidement. Au-delà du fait que la personnalisation est le chouchou des 35 ans et moins, c’est aussi un excellent levier de fidélisation. Même si les consommateurs ou consommatrices sont hésitant·es à partager leurs données, la collecte de données est l’élément nécessaire à l’entreprise pour personnaliser leur expérience. Et c’est vrai plus que jamais avec le début de la fin des cookies tiers !

Il vous faudra trouver des solutions concrètes pour continuer à suivre le parcours de vos client·es jusqu’à la conversion. Dans un premier temps, il faut maîtriser la collecte de données client·es (via un CRM) pour ensuite les analyser de manière à en tirer des conclusions constructives. Cette collecte d’informations vous permet ensuite de propulser des campagnes hautement personnalisées. À des fins de personnalisation, votre entreprise peut aussi miser sur l’écoute sociale et la relation à long terme pour en apprendre davantage sur sa clientèle.

Le commerce social

La place croissante des médias sociaux dans le parcours client·e explique en partie l’arrivée du commerce social. Cette habitude de consommation de plus en plus courante ne prévoit pas s’estomper dans la prochaine année, bien au contraire. On voit apparaître des interfaces qui lui sont dédiées sur des plateformes telles que Facebook, Instagram et TikTok. C’est merveilleux autant pour le consommateur ou la consommatrice que pour l’entreprise !

Non seulement l’utilisateur·trice n’a pas besoin de quitter l’application pour acheter un produit, mais vous optimisez votre conversion par le fait même (un indicateur clé de performance incontournable pour toute entreprise qui se respecte). Il y a là 2 avantages énormes : la réduction du nombre de clics menant à une transaction et l’engagement du consommateur ou de la consommatrice à chaque étape de son parcours client·e. En vrai, c’est une opportunité de croissance considérable pour les années à venir !


4. Réalité virtuelle & Métavers

En parlant d’expérience client·e, il est difficile de passer à côté de la réalité virtuelle. Ce type de technologie aide à créer une expérience d’achat encore plus personnalisée et inoubliable. Le consommateur ou la consommatrice entre dans un environnement numérique créé de toute pièce par l’entreprise. Elle permet notamment l’essayage virtuel de produits ou même la visite d’une salle de montre virtuel.

Plus précisément le métavers

Étant une tendance forte dans le secteur des technologies, vous avez assurément entendu parler du métavers. D’ailleurs, Meta, Microsoft et Tencent développent actuellement un concept qui leur est propre. C’est un marché dont le potentiel est estimé à 800 milliards de dollars et qui deviendra très concurrentiel. En quoi consiste exactement le métavers ? Eh bien, c’est un monde virtuel en parallèle de la réalité où l’on peut faire à l’aide d’un avatar tout ce que l’on ferait dans la vraie vie.

Bien qu’à ses prémisses, c’est technologie est probablement l’internet de demain ! C’est donc un espace qui pourrait représenter une opportunité future pour les commerces. Ce monde virtuel vous permet de créer une expérience 100 % immersive avec une représentation en 3D de vos produits. Ainsi, les interactions commerciales sont améliorées et le taux de retours réduit. Avant d’investir dans ce nouveau canal de vente, il faudra vous demander si c’est un espace adapté pour votre entreprise et si vous disposez des ressources nécessaires. Pour les PME, le métavers reste une tendance à observer au loin pour le moment.


5. IA et l’apprentissage automatique

Ce n’est pas une nouveauté, mais l’IA et l’apprentissage automatique (ou machine learning en anglais) sont de plus en plus matures et gagnent de ce fait en popularité. Avec leur intégration à des outils grand public (ex. : Active Campaign), ces technologies sont aussi plus accessibles. Leur utilisation se généralise progressivement à l’ensemble du marketing avec les analyses prédictives.

En voici quelques exemples :

  • La recommandation de produits automatiques et correspondants aux préférences de la clientèle.
  • La recherche de produits affichant des résultats plus pertinents pour l’utilisateur ou l’utilisatrice.
  • La prévision de la demande, la prise de décision et le placement de produit amélioré.
  • L’automatisation des efforts marketing tels que la segmentation de la clientèle, la gestion des campagnes et les tâches de génération de prospects.
  • La création de messages plus personnalisés.
  • La prédiction de l’achalandage sur place.
  • La réduction des erreurs possibles dans les commandes.
  • La gestion des inventaires efficacement.

Tous les avantages de cette technologie peuvent aider les entreprises à pallier la pénurie de main-d’œuvre en optimisant les coûts et le temps des ressources. De plus, les campagnes de marketing s’en retrouvent globalement améliorées. Bref, c’est une solution gagnante à envisager !


Bonus : Mouvements sociétaux à observer

Vous le savez déjà, les stratégies de votre entreprise doivent s’adapter aux changements qui s’opèrent dans la société. L’aspect numérique n’y échappe pas ! Par exemple, la visibilité des plateformes sociales est tranquillement redonnée aux utilisatrices et utilisateurs plutôt qu’aux entreprises. Le développement durable change les habitudes de consommation et commence tranquillement à déteindre sur les habitudes numériques. Voici trois grandes thématiques à suivre de près :

La conscience éthique

La désinformation est partout ! Les utilisateur·trices demandent désormais du contenu intègre, fiable et authentique.

L’environnement

La crise climatique et le sentiment d’urgence sont palpables sur le web. Votre entreprise doit impérativement réfléchir à son impact écologique avant de chercher à communiquer sur le sujet.

L’esprit de communauté

De moins individualistes, les plateformes sociales rallient davantage l’esprit de communauté. Votre entreprise devra donc tranquillement se tourner vers le ciblage de communauté plus que d’individus. La création de communautés peut aider à renforcer l’engagement et la fidélisation de votre clientèle.

 

Vous avez envie d’explorer l’une de ces tendances en 2023 ? Notre équipe d’expert·es peut vous guider ! Contactez-nous dès maintenant.


100 % NumériQC : 405 000 $ pour poursuivre l’accompagnement des commerçants dans leur virage numérique

La Ville de Québec annonce l’octroi d’un montant de 405 000 $ à Québec numérique afin de lui permettre de poursuivre son service d’accompagnement 100 % NumériQC destiné aux commerçants. Mis sur pied en 2018, ce service gratuit a permis d’aider plus de 250 entreprises dans leur virage numérique.

L’investissement global permettra l’accompagnement de 140 commerçants de l’agglomération de Québec et de Wendake sur une période de 18 mois. La nouvelle phase du projet proposera des stratégies numériques pour améliorer la productivité afin de pallier le manque de main d’œuvre, un enjeu bien présent chez les commerçants. En plus du service personnalisé, Québec numérique organisera une dizaine d’événements de formation et de sensibilisation au virage numérique, des cohortes de codéveloppement sur des enjeux spécifiques, en plus d’offrir différents outils de référence.

« Québec numérique est un partenaire de choix pour l’accompagnement de nos entreprises dans leur développement numérique, a déclaré M. David Weiser, membre du comité exécutif responsable du développement économique. Plus que jamais, les efforts de numérisation doivent être soutenus pour permettre à nos commerçants de demeurer concurrentiels dans un contexte où la compétition est féroce et où les défis sont nombreux. Cette nouvelle phase du projet permettra à encore plus d’entreprises de développer des stratégies et des outils numériques grâce à l’appui d’experts en la matière. »

Taux de satisfaction élevé

Depuis les débuts du programme en 2018, les centaines de commerçants ayant participé au projet 100% NumériQC ont pu être guidés pour répondre à plusieurs de leurs besoins numériques : présence sur les réseaux sociaux, mise en ligne d’un site Web ou d’une boutique en ligne, promotion, inventaire en ligne, outils de gestion du personnel et des clients, etc. Le taux de satisfaction des services d’accompagnement atteint 97 % chez les anciens participants.

Rappelons que le programme s’adresse spécifiquement aux commerces de détail, aux établissements d’hébergement, de restauration et de services occupant un local commercial. Tous les commerçants, qu’ils fassent partie d’un regroupement de gens d’affaires ou non, peuvent y participer. Les personnes intéressées peuvent dès maintenant consulter le site de 100 % NumériQC afin de connaître toutes les conditions d’admissibilité.

« L’engouement de la communauté d’affaires de la région de Québec pour les services de Virage NumériQC démontre qu’il y a un besoin réel de soutien et de développement des compétences numériques chez les individus, a affirmé
M. Martin Boivin, directeur général de Québec numérique. C’est dans l’ADN de Québec numérique de démocratiser cet univers et permettre au plus grand nombre d’en profiter pleinement. Nous sommes fiers que la Ville de Québec nous réitère sa confiance afin que l’on puisse poursuivre notre mission, qui, espérons-le, contribuera au rayonnement des commerçants et entrepreneurs de la ville. »

Plan commerce 2022-2025

Cette démarche s’inscrit dans le cadre du Plan commerce 2022-2025 dans lequel la Ville poursuit l’objectif d’accompagner les entreprises du commerce de détail, ayant pignon sur rue, dans l’adoption d’outils et de stratégies numériques. Les deux premières phases du projet ont été financées à travers les Plans commerces de 2018 (299 000 $) et 2020 (466 000 $).

Cette annonce s’ajoute aux nombreuses sorties à saveur économique réalisées par la Ville cet automne.


Le marketing d’influence : qu’est-ce que c’est?

Le marketing d’influence est un type de marketing qui s’appuie sur des leaders d’opinion pour réaliser la promotion d’un produit ou d’une idéologie. [1]

Mise de l’avant dans les dernières années, cette tactique marketing a fait ses preuves. 

Détrompez-vous, le marketing d’influence n’a rien de nouveau. En effet, un porte-parole apparaissant dans une publicité télé ou une voisine qui organise une soirée pour aider la promotion du type de produit peuvent être qualifiés, eux-aussi, de marketing d’influence. 

 

Ce qui nous intéresse particulièrement dernièrement, c’est le marketing d’influence sur les réseaux sociaux. En effet, 93% des responsables marketing sondés ont répondu utiliser cette tactique et ceux-ci ont déclaré que le ROI (retour sur investissement) est multiplié par 18 grâce aux influenceurs.[2]

Les trois principales plateformes ou les campagnes de marketing d’influence sont créées en 2022 sont Instagram, TikTok et YouTube. Toutefois, il existe de nombreuses autres plateformes sociales ou celles-ci peuvent être diffusées telles que Twitch, Facebook, Twitter, etc. 

 

Le contenu créé par ces créateurs peut avoir de multiples vocations. Promotionnelle, éducationnelle ou inspirationnelle, la vocation du contenu doit avant-tout être alignée avec vos objectifs et votre intention. 

Mais c’est quoi un.e influenceur.se?

Non, les influenceurs.ses ne sont pas que des filles en bikinis sur la plage ou des gens qui ont participé à des télé-réalités. On parle plutôt de leader d’opinion, ce peut être un.e blogueur.se, une maman présente sur les médias sociaux, ou même un chien avec son propre compte instagram. Vous serez peut être surpris de connaître Tucker Budzyn le Golden Retriever avec ses 3,3 millions d’abonnés. Non seulement ce chien possède sa propre ligne de produits, mais il fait également la promotion de produits comme des jouets pour chien, les matchs de la NFL ou des chaussures pour ses maîtres. 

 

Alors que ce sont généralement les plus grandes compagnies qui font appel aux influenceurs.ses avec quelques millions d’abonnés, il existe des créateurs de contenus pour toutes les catégories d’entreprises et types de campagnes. 

Les nano-influenceurs

Un compte ou une personne nano-influenceur.se a entre 1000 et 10 000 abonnés sur les médias sociaux. Ces ambassadeurs offrent généralement de la visibilité à une boutique ou une marque en échange d’une petite rémunération ou simplement l’échange d’un produit. Ce sont plus souvent des monsieurs-madames tout le monde qui aiment partager les aléas de leur vie avec leur communauté. L’avantage de ce type d’influenceur.se, c’est qu’ils sont généralement les plus authentiques et s’intéressent réellement aux marques qu’ils mettent de l’avant. 

Les micro-influenceurs

Les micro-influenceurs ont 10 001 à 100 000 abonnés. Ayant un plus grand auditoire, ces influenceurs sont généralement dédiés à leur communauté et créent du contenu de qualité qui met en valeur les marques. C’est une catégorie de comptes qui, eux, demandent une rémunération substantielle pour leur travail et la visibilité offerte. Cependant, ce sont les campagnes qui sont souvent les plus performantes. De nombreuses ventes sont générées par des campagnes de marketing via des micro-influenceurs.

Les macro-influenceurs

Avec de plus grandes communautés, les macro-influenceurs ont entre 100 0000 et 1 millions d’abonnés. Les abonnés de ses comptes étant généralement répandus dans plusieurs régions, ils sont un bon moyen pour une marque de couvrir un territoire plus large et d’avoir une grande visibilité. Ces influenceurs.ses considèrent les médias sociaux comme leur métier et donc, cherchent à obtenir de bons revenus pour leurs actions. Étant considéré.es moins authentiques que les deux types précédents, les résultats de ces campagnes peuvent être décevants.

Les méga-influenceurs

Finalement, les méga-influenceurs sont considérés comme des célébrités ou des personnalités publiques. Ils donnent une énorme visibilité aux marques qu’ils mettent de l’avant. Ces influenceurs sont généralement moins authentiques et plus difficiles à rejoindre. En échange d’autant de visibilité, ces célébrités demandent un bon montant d’argent pour partager du contenu sur leurs comptes.

Les modèles de rémunération

Il existe trois principales façons de rémunérer les influenceurs. 

  • En produits : ce sera généralement la méthode avec les nanos ou parfois même avec les micro influenceurs. On pourra leur offrir un produit ou un service dont ils pourront se servir pour créer du contenu. Évidemment la valeur du produit doit être prise en compte dans l’échange. Plus un produit est dispendieux, plus on peut demander des services en échange. 
  • Rétribution fixe : c’est un montant prédéterminé, inscrit au contrat, qui sera versée à l’influenceur. Les créateurs demanderont généralement un montant par action. Par exemple, le montant demandé peut varier d’une story à la rédaction d’un blogue ou d’une publication Instagram à une vidéo Youtube.
  • Rétribution variable : ce type de rémunération peut être intéressant avec des influenceurs de confiance. On peut leur offrir des bonus en fonction des retombées de la campagne ou en fonction du nombre de vues d’une vidéo. Il faut toutefois être prudent avec ce type de paiement et mettre des limites claires dès le départ.

Des exemples de campagnes

Si vous passez un minimum de temps sur les médias sociaux, c’est garantie que vous avez déjà vu des campagnes de marketing d’influence. Que vous en ayez eu conscience ou non, ces publications ont parfois une allure de publication bien régulière et parfois c’est plus évident. Voici quelques exemples de campagnes. 

La boutique Ivy, située sur la rue Cartier à Québec, est un bel exemple local de marketing d’influence. En effet, la boutique fait souvent appel à certaines ‘’influenceurs’’ de la région pour faire la promotion de ses produits. Que ce soit des images pour les comptes de l’entreprise ou des publications sur les réseaux sociaux de ces femmes, le contenu est toujours bien présenté et réfléchi.

Marque internationale de plus grande envergure, Vessi est une championne du marketing d’influence. Durant quelques mois en 2021, de nombreux créateurs de contenus sur Tiktok ont créé des vidéos pour promouvoir les bienfaits de leurs chaussures imperméables. Vues par des millions de personnes, ces vidéos ont fait connaître leurs produits à de nombreux clients potentiels. L’exemple, ici, met en vedette la créatrice de contenu canadienne @kallmekris

Un autre exemple d’entreprise de chaussures, mais tellement différent, est l’affiliation entre les chaussures Yellow et l’influenceuse Sarah Couture. Dans cette campagne, ce n’est pas seulement du contenu qui a été créé, mais une collection complète de produits. La collection Sarah couture est disponible en ligne et en magasin. Elle a été promue par Yellow, mais également par Sarah Couture à ses 185K abonnés sur Instagram. La création collaborative est aussi un type de marketing d’influence. C’est généralement quelque chose que l’on fait avec un.e influenceur.e avec qui une bonne relation de confiance a été établie.

Vous souhaitez démarrer une stratégie de marketing d’influence et ne savez pas par ou commencer ? Contactez-nous pour savoir si vous êtes admissible à l’un de nos programmes!

Références

[1] Marketing d’influence, Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Marketing_d%27influence

[2] Marketing d’influence : définition, intérêt et étapes (+ exemples), Blog Hubspot, 7 ocotbre 2021, mise à jour le 19 août 2022. https://blog.hubspot.fr/marketing/techniques-perfectionner-marketing-influence


Comment analyser vos données clients en moins de 3 heures par mois

Analyser vos données clients peut être complexe et ardu. Pourtant, c’est ce qui peut rapporter gros en termes d’optimisation de votre site Web. En effet, connaître vos clients, en particulier leur comportement et leurs habitudes, est essentiel au succès de votre entreprise et de ses initiatives marketing et de communication. 

Nous avons déjà vu comment tirer profit de nos données clients dans cet article. Mais comment, concrètement, collectons-nous et analysons-nous ces données? Quelles sont celles qui méritent notre attention? Comment savoir si les chiffres que nous avons sous les yeux sont bons ou à améliorer?

Toutes les réponses sont plus bas. Nous savons que plusieurs défis se dressent devant vous et que votre temps est une denrée rare et précieuse. Voici donc un guide pour vous aider à intégrer habilement et sans fla-fla l’analyse de données dans vos habitudes.

Avant d'analyser vos données clients (1h)

Pour diminuer drastiquement le temps investi dans l’analyse de vos données clients, il faut vous fixer un objectif. Avec un objectif concret, il est possible de déterminer plus facilement et rapidement les endroits et les informations spécifiques sur lesquels vous concentrer. Voici quelques exemples d’objectifs:

  • Augmenter l’achalandage moyen sur votre site Web
  • Augmenter le taux d’interaction moyen sur les réseaux sociaux
  • Augmenter le taux de conversion moyen ou la moyenne de facturation
  • Diminuer le nombre moyen de prises de contact pour des demandes d’information sur les produits ou services vendus et ainsi gagner un temps précieux.

Pour maximiser les retombées positives de votre analyse sur votre entreprise, soyez encore plus précis. Par exemple:

  • Augmenter l’achalandage moyen sur votre site Web de 15 % le mois prochain
  • Augmenter le taux d’interaction moyen sur les réseaux sociaux de 3 % le mois prochain
  • Augmenter le taux de conversion moyen de 0,5 % ou la moyenne de facturation de 10 $ le mois prochain
  • Diminuer le nombre moyen de prises de contact de 50 % le mois prochain pour des demandes d’information sur les produits ou services vendus

Inclure des chiffres et une période de temps précis vous permettra d’évaluer en un clin d’œil si votre objectif est atteint. N’oubliez pas, restez tout de même réaliste!

Avant d’analyser vos données clients: Définir des tactiques

Les tactiques envisagées varieront selon votre secteur d’activité et l’objectif fixé à l’étape précédente. Voici 2 exemples concrets pour vous inspirer:

EXEMPLE 1

Un restaurant affecté par la pénurie de main-d’oeuvre qui souhaite augmenter de 50 % ses réservations en ligne pour réduire le nombre d’appels téléphoniques*

On parle ici de modifier les habitudes de nos clients. Il faut donc s’attendre à ce que cet objectif nécessite plus de temps pour être atteint. 

Quelques tactiques possibles pour inciter les gens à utiliser la plateforme en ligne:

  • Promouvoir la rapidité et la simplicité de l’outil sur les réseaux sociaux en incluant un lien spécifique sur cette page;
  • Proposer une offre à ceux qui choisiront cette méthode de réservation (ex.: un dessert à partager pour un temps limité si vous réservez en ligne);
  • Inscrire tous les gens qui réserveront en ligne à un concours (ex.: gagnez un souper pour 2).

____________

*On considère ici que l’établissement dispose déjà d’une plateforme de réservation en ligne.

EXEMPLE 2

Une boutique en ligne qui veut augmenter ses ventes auprès de sa clientèle actuelle en augmentant sa moyenne de facturation de 20 $

Dans cette situation, on veut plutôt inciter les gens à dépenser plus lorsqu’ils visitent la boutique en ligne.

Quelques tactiques envisageables pour inciter les gens à dépenser plus:

  • Ajouter une section qui propose des produits connexes sur les fiches produits ou dans le panier;
  • Si, par exemple, la moyenne actuelle est de 40 $, on pourrait choisir de fixer la livraison gratuite à partir de 60 $ et de le promouvoir clairement sur le site (ajouter bandeau supérieur, l’inscrire sur les fiches produits et dans le panier);
  • Proposer des ensembles de produits agencés que les gens peuvent se procurer facilement.

Avant d’analyser vos données clients: Quelles sont les données les plus importantes?

Effectuer les étapes précédentes facilitera celle-ci. En fonction de votre objectif, vous saurez identifier rapidement les données importantes à monitorer. Elles seront vos indicateurs de performance. Voici des données généralement pertinentes que nous analysons lors de nos accompagnements.

Note 1: Chacune de ces données est expliquée plus bas.

Note 2: Si vous utilisez un logiciel de gestion de la relation client (CRM), d’autres données pertinentes en lien avec vos clients s’y trouvent.

Globalement

  • Durée moyenne d’engagement (ou de visite) sur votre site Web
  • Sessions / utilisateurs 
  • Origine des visiteurs
  • Taux d’engagement (ou de rebond)

Commerce de détail

  • Taux de conversion
    • Achat
    • Demande d’information
    • Téléchargement d’outil ou de document
  • Moyenne de facturation

Restauration

  • Taux de conversion
    • Réservations en ligne
    • Commandes en ligne
    • Réponse à un sondage 
  • Moyenne de facturation

À propos de votre audience et de votre compétition

  • Taux d’interaction sur vos publications
  • Données démographiques
  • Benchmarking

Avant d’analyser vos données clients: Où collecter et analyser vos données clients?

La réponse à cette question dépend des données clients que vous voulez analyser. Voici les mêmes exemples de données clients énoncées au point précédent, classées par plateforme où vous pouvez les trouver. 

Note 1: Google Analytics nécessite d’être configuré avec votre site Web pour fonctionner correctement.

Note 2: Si vous utilisez un CRM, il s’agit d’une plateforme toute désignée pour récolter des informations vous aidant à dresser un portrait précis de votre client cible.

Exemples de données qui se collectent pour vous dans Google Analytics:

  • Durée moyenne d’engagement* (ou de visite) sur votre site Web
  • Sessions / utilisateurs 
  • Origine des visiteurs
  • Taux d’engagement* (ou de rebond)
  • Taux de conversion (nécessite une configuration de votre part)

____________

*Terme utilisé sur la nouvelle mouture de Google Analytics, Google Analytics 4. Référez-vous au terme entre parenthèses si vous utilisez toujours l’ancienne version.

Exemples de données qui se collectent pour vous dans vos comptes de réseaux sociaux*:

  • Taux d’interaction sur vos publications
  • Données démographiques
  • Benchmarking

 

 

 

 

____________

*Le Meta Business Manager, auparavant connu sous le nom de Facebook Business Manager, en est un exemple.

Exemples de données qui se trouvent dans votre CMS*:

  • Durée moyenne d’engagement (ou de visite) sur votre site Web
  • Sessions / utilisateurs 
  • Origine des visiteurs
  • Taux de rebond
  • Taux de conversion (généralement disponible par défaut)
  • Moyenne de facturation

 

____________

*Il s’agit de la plateforme que vous avez utilisée pour créer votre site Web et que vous utilisez également pour l’entretenir. Shopify, Wix et Wordpress en sont des exemples.

Comment analyser vos données clients (1,5h)

Votre objectif étant déjà identifié à cette étape, vous saurez rapidement si vous l’avez atteint ou non. Si vous l’avez dépassé, félicitations! Le temps est réparti comme suit: 45 minutes à 1 heure en début de période (ce qui vous aidera à cibler votre objectif) et 30 à 45 minutes en fin de période (pour mesurer le succès de vos tactiques).

Analyser vos données clients: Comment savoir si vos chiffres sont bons?

Nous avons déjà vu que les données les plus pertinentes pour vous dépendent de votre objectif et de votre secteur d’activité. Reprenons tous les exemples de données clients plus haut et décortiquons-les.

Note: Il s’agit de cibles générales. Nous nous adaptons à chaque contexte lorsque nous effectuons un diagnostic avec nos clients.

Analyser vos données clients sur Google Analytics ou dans votre CMS

Durée moyenne d’engagement (ou de visite) sur votre site Web

CIBLE: Plus d’1 minute.

Il s’agit du temps moyen passé sur votre site Web. En dessous d’une minute, on peut croire que l’attention n’a pas été captée, que l’utilisateur a été mal guidé et/ou qu’il n’a pas trouvé l’information recherchée.

 

Nouveaux visiteurs et visiteurs récurrents

CIBLE: On cherche à atteindre 30% de visiteurs récurrents (qui reviennent sur notre site).

C’est bien connu, un client coûte moins cher à fidéliser qu’à acquérir. Selon le stade de développement de votre entreprise, il est possible que votre cible soit en-dessous de 30%. Par exemple, si vous venez de démarrer, vous voulez vous faire connaître. Donc, votre cible de visiteurs récurrents sera plus faible et, pour vos nouveaux visiteurs, plus élevée.

 

Origine des visiteurs

CIBLE: Dépend de votre objectif.

On apprend ici d’où est-ce que nos visiteurs proviennent. Sont-ils arrivés sur notre site Web via les réseaux sociaux? Ont-ils cherché mon nom (ce qui indiquerait que mon nom est connu) directement dans les moteurs de recherche (recherche directe)? Si, par exemple, on souhaite gagner en notoriété, on pourrait viser à augmenter les visiteurs en provenance de la recherche directe.

 

Taux d’engagement (ou de rebond)

CIBLE: Plus de 60% d’engagement ou moins de 40% de rebond.

Une session avec engagement au sens de Google est une visite qui “dure plus de 10 secondes, comporte un événement de conversion, ou enregistre au moins deux pages vues ou deux vues d’écran”*. Le taux d’engagement est donc calculé comme suit: c’est le nombre de sessions avec engagement sur le nombre total de visites sur votre site Web.

Le taux de rebond correspond, d’une certaine manière, à l’opposé du taux d’engagement. Si un visiteur ne parcourt qu’une page, rapidement et sans cliquer sur aucun lien, il sera compté comme un rebond. Un taux de rebond élevé est néfaste pour votre positionnement sur Google, puisque le moteur de recherche comprend que les gens ne trouvent pas ce qu’ils cherchent sur votre site.

 

Taux de conversion

CIBLE: Entre 1 et 3% c’est excellent. Plus de 4%, c’est extraordinaire!

Généralement disponible directement dans votre CMS (la plateforme qui vous permet de gérer votre site Web), il nécessite une configuration dans Google Analytics pour être exact. Vous pouvez également choisir ce que vous considérez comme une conversion. Si, par exemple, le téléchargement d’un document est une conversion à vos yeux, vous pouvez faire en sorte que cette action soit comptabilisée dans vos conversions. Il s’agit donc du nombre total d’achats (et d’autres actions importantes que vous avez configurées) sur le nombre total de visites sur votre site Web.

 

Moyenne de facturation

CIBLE: Diffère selon ce que vous vendez.

Si, pour une raison ou une autre, vous ne retrouvez pas cette donnée dans votre CMS, pensez à jeter un œil/ à votre système de point de vente (POS). La cible varie grandement en fonction de votre secteur d’activité. Cette donnée vous servira davantage de point de repère si vous souhaitez vous fixer un objectif d’augmentation de la moyenne de facturation, par exemple.

____________
* Source: Google.

Analyser vos données clients sur les réseaux sociaux

Taux d’interaction sur vos publications

CIBLE: 5% d’interaction exprime souvent un bon engagement de votre audience sur vos publications.

Représente le nombre total de réactions (j’aime, j’adore, etc.), de commentaires, de partages et de clics sur votre publication, divisé par le nombre total de fois où elle a été vue.

 

Données démographiques

CIBLE: N/A

Il s’agit de données qualitatives qui vous permettent surtout de mieux comprendre et identifier à qui vous vous adressez. 

 

Benchmarking

CIBLE: Dépend de votre objectif.

À l’aide du Meta Business Manager, comparez vos performances avec celles de compétiteurs que vous avez vous-mêmes identifier. Ceci pourra, par exemple, vous inciter à publier  ou faire croître votre audience plus rapidement qu’un compétiteur X.

Vous aimeriez avoir de l’aide pour démarrer votre analyse? Vous avez du mal à vous retrouver dans vos statistiques Meta? Vous avez besoin de précisions ou d’informations supplémentaires? C’est une excellente occasion de nous contacter directement pour obtenir de l’aide.


Le commerce social n’est pas juste une tendance et voici pourquoi

Si votre entreprise est présente en ligne, sans doute avez-vous entendu parler dans les derniers mois du commerce social (du moins, vous devriez!🙃). Bien plus qu’une tendance ou un buzz word, le commerce social est un nouveau canal de vente, propulsé par les plateformes de médias sociaux, qui est là pour rester. 

Le commerce social, c’est quoi?

Le commerce social peut se résumer ainsi: l’utilisation des médias sociaux pour vendre vos produits ou vos services. Contrairement au marketing social, qui fait davantage référence à la gestion de communauté et à des stratégies d’influence, le commerce social implique directement l’action de vendre (lire entre les lignes: le paiement du client) [1]. Le commerce social se différencie également du commerce en ligne puisqu’une boutique en ligne n’est pas toujours nécessaire pour réaliser une vente. Ça signifie qu’il n’est pas nécessaire pour le client de quitter la plateforme sociale sur laquelle il se trouvait initialement pour compléter son achat. Vous me voyez venir: c’est un moyen de diminuer la friction en retirant des étapes inutiles du parcours d’achat (d’un point de vue client, évidemment) [2]. 

Les avantages du commerce social

Alléger le parcours client est déjà un avantage non négligeable, mais le commerce social en présente plusieurs autres:

  • Réduire les barrières à l’entrée: pour une entreprise qui n’a pas de boutique en ligne, le commerce social réduit les barrières à l’entrée de la vente en ligne puisque le seul prérequis est la présence sur la plateforme sociale [3]
  • Miser sur l’impulsivité: en épurant le parcours d’achat, on encourage l’achat dès la découverte du produit. Rappelons-nous que chaque clic est une opportunité que le client change d’idée: moins de clic = moins de remise en question! [4]
  • Faciliter le ciblage: il est plus facile d’avoir des cibles très précises, notamment sur les centres d’intérêts des clients potentiels. Grâce à l’abondance de données que possèdent les algorithmes sur leurs utilisateurs, fini les actions mal ciblées! [4]
  • Accélérer le sentiment de confiance: le client potentiel a un accès direct à une forme d’approbation sociale (nombre d’abonnés, interactions, commentaires, avis, etc.) dont il a besoin pour faire suffisamment confiance à la marque et ainsi procéder à un achat. [2]

3 raisons de vous mettre au commerce social dès maintenant

Vous croyez que c’est seulement une tendance? Que c’est trop cher à implanter? Que votre entreprise est trop petite et n’a pas les ressources nécessaires? Détrompez-vous: le commerce social est accessible et l’adoption, assez simple. 

Voici 3 bonnes raisons de vous y mettre: 

  1. Pour rejoindre une clientèle plus jeune, le commerce social est un incontournable: chez les 18-34 ans, c’était déjà plus d’une personne sur deux qui avait fait un achat sur une plateforme sociale en 2019…on est en 2022. [4]
  2. Selon un récent sondage auprès des chefs d’entreprises américains, près de 80% d’entre eux prévoient utiliser les médias sociaux pour vendre leurs produits et services d’ici 2024. On n’a pas besoin de répéter que la compétition n’est plus juste votre voisin de rue, n’est-ce pas? 
  3. Ne pas emboîter le pas avec le commerce social peut avoir un impact sur la réputation de la marque, la rétention client, la compétitivité et, bien sûr, les revenus [5]. Alors, ne jouons pas à l’autruche!

Se mettre au commerce social en quelques étapes

Comme pour chaque nouvelle pratique que vous adoptez, nous vous conseillons de vous inspirer auprès d’entreprises qui sont déjà dans le coup. Regardez ce que font les entreprises que vous appréciez et portez attention aux stratégies de vos compétiteurs pour en retirer le meilleur…et prendre en note les erreurs à éviter! Mieux encore: essayez-le par vous-même pour bien comprendre l’expérience.

Ensuite, entourez-vous de bonnes personnes. Ne sous-estimez pas la volonté de vos employés ou de votre entourage à vouloir tester une nouvelle approche. Peut-être que quelqu’un est intéressé à propulser cette initiative pour votre entreprise. Vous songez à le faire par vous-même? Nous pouvons vous accompagner dans la mise en place pour vous mettre en confiance! 

Surtout, ne négligez pas l’audience! Identifiez les plateformes où les clients potentiels sont les plus confortables. Pour un premier essai, nous vous suggérons d’investir sur ces canaux et de vous y limiter. Définissez ensuite leur parcours: comment sont-ils arrivés sur votre produit? Et pensez à la suite: que souhaitez-vous qu’ils fassent ensuite? Indice: opportunité de fidéliser. 

Les options qui s’offrent à vous

Voici les options qui vous permettront de vous lancer dans le commerce social.

Boutique Facebook

Avec la boutique Facebook, les clients peuvent payer directement sur la plateforme via Meta Pay. En ajoutant leur moyen de paiement, les utilisateurs sont prêts à payer en un clic! Vous pouvez créer votre boutique à partir de zéro ou y importer le catalogue de produits de votre boutique en ligne, si vous en avez une. En ajoutant des produits à la boutique Facebook, ceux-ci seront accessibles sur votre page Facebook mais également sur votre profil Instagram, et dans le contenu que vous y créez (publications, stories, publicités). 

Côté conversion, la boutique Facebook offre différents moyens d’atteindre vos objectifs: l’achat directement dans l’app, la redirection vers la fiche produit sur votre site transactionnel ou vers Messenger, pour un service à la clientèle direct et rapide. 

Exemple d'une boutique Facebook tirée de la page de Resto Plaisir.

Instagram Shopping

Cette option ne vit pas seulement à travers Meta: c’est un canal à part entière. Avec Instagram Shopping, vous verrez l’onglet Boutique apparaître sur votre profil. Vous pourrez ajouter des liens directs vers vos produits dans vos stories, qu’elles soient photos ou vidéos. Même chose pour les publications, auxquelles vous pouvez apposer des étiquettes sur les produits (comme dans la vraie vie!).

Exemple de l'onglet Instagram Shopping tirée du compte de Demain Peut-être.

Pinterest

Ne sourcillez pas: la fonction magasinage existe depuis 2015 sur Pinterest! Avec un compte entreprise, vous pouvez créer des épingles produits (incluant le prix), qui seront regroupées dans l’onglet Shopping. Comme pour la boutique Facebook, vous pouvez y importer l’ensemble de votre catalogue en y connectant votre boutique en ligne. Elle est nécessaire sur Pinterest, car la plateforme n’offre pas d’option de paiement intégrée. C’est un moindre mal, sachant que 89% des utilisateurs de Pinterest y sont pour des inspirations, les opportunités de découverte pour eux et de conversions pour vous demeurent nombreuses.

Exemple de l'onglet Shopping sur Pinterest tiré du compte de RW&CO.

Vous êtes indécis sur la plateforme à choisir? Vous avez peur de faire exploser votre site web avec l’importation de votre catalogue sur une boutique Facebook? Écrivez-nous pour obtenir un coup de main. On vous promet, rien ne va exploser! 😉

Références

  1. Social commerce en 2022: définition et conseils pour vendre sur les réseaux sociaux. Blogs Shopify. 7 mars 2022. https://www.shopify.com/ca-fr/blog/social-commerce
  2. Qu’est-ce que le commerce social?. Blog Digitad. 27 mai 2022. https://digitad.ca/commerce-social/ 
  3. Social commerce: 64% des utilisateurs ont effectué un achat via les réseaux sociaux en 2021. Blog du modérateur. 5 janvier 2022. https://www.blogdumoderateur.com/social-commerce-utilisateurs-achat-reseaux-sociaux-2021/
  4. What is Social Commerce and Why Should Your Brand Care?. Blog Hootsuite. 28 juillet 2022. https://blog.hootsuite.com/social-commerce/
  5. Social commerce trends and misconceptions: What leaders need to consider?. Sprout Social. 2 mai 2022. https://sproutsocial.com/insights/social-commerce-trends/

 


Pourquoi mon entreprise devrait avoir un site web en français?

Saviez-vous qu’au Québec, c’est SEULEMENT 57% de la population active qui utilise le français au travail? On se rend à 96% de la population si l’on considère les gens qui utilisent 2 langues au travail. Ces statistiques sont éloquentes, le français est essentiel pour rejoindre les gens au Québec.

 

Dans le cadre d’une collaboration entre Québec numérique et l’Office de la langue française (OQLF), notre équipe vous présente une série d’articles sur l’importance de la langue française dans le virage numérique de votre entreprise.. Le premier de cette série; pourquoi avoir un site web en français?

Nous vous présentons ici quelques bonnes raisons d’investir le temps nécessaire sur un site web en français. 

 

Plus qu’une obligation : Loi 101, article 52

Une excellente raison d’avoir un site web en français est qu'au Québec, selon la loi 101, toute entreprise qui a une adresse sur le territoire se doit d’offrir sa publicité en français. En effet, si l’adresse de votre entreprise est située au Québec votre site web se doit d’être au moins aussi complet en français que dans une autre langue, à moins d’exception. Tous les contenus publicitaires et les communications de votre entreprise, dont votre site web fait partie, sont sujets à cette loi.  Cette loi implique que les pages d’informations, les pages produits et tout autre information pertinente doit être disponible pour les utilisateurs francophones. 

 

Évidement que si vous offrez des cours d’anglais,par exemple, le contenu de ceux-ci n’ont pas besoin d’être traduits, mais le site web dans son ensemble doit être en français. 

Nous vous invitons à consulter le texte de loi sur le site de l’OQLF afin de connaître les spécificités de la loi. 

 

Offrir un service à la clientèle adéquat

Au Québec, un site web en français permet d’offrir un service à la clientèle de qualité. Souvenez-vous de la dernière fois où vous êtes arrivé sur un site en anglais et que vous ne trouviez pas ce que vous cherchiez simplement parce que le terme en anglais ne vous revenait pas ou simplement parce que vous ne parliez pas la langue. Qu’avez-vous fait? Plusieurs utilisateurs quittent simplement le site web et ce n’est pas ce que vous voulez provoquer comme réaction chez vos clients potentiels. 

 

Pour éviter que ce type de situation se produise, un site web en français est essentiel. À garder en tête également; ce ne sont pas tous les Québécois qui parlent une deuxième langue. Vous pourriez perdre des ventes si votre site n’est pas optimisé pour être lu dans la langue courante de votre région. De plus, plusieurs consommateurs québécois ne font pas autant confiance à un site web dans une autre langue que la leur. C’est donc une opportunité de les convaincre plus facilement en mettant l’effort d’offrir un service à la clientèle et une expérience complète en français. Une fois le site web traduit, assurez-vous également que ce soit simple pour l’utilisateur de passer d’une langue à l’autre afin de le guider facilement vers ce qu’il recherche. 

 

Optimiser votre site web pour les moteurs de recherche

Si vous avez déjà fait une recherche sur Google ou un autre moteur de recherche, vous savez que les sites qui ressortent correspondent à votre recherche. Comment est-ce que ça fonctionne? De façon très brève, Google, par exemple, lit votre site pour en connaître le contenu et l’affiche lorsqu’une recherche qui y correspond est faite. Donc, si votre site n’est pas dans la même langue que ce que recherchent vos clients, vous ne paraîtrez pas, ou presque jamais dans les résultats potentiels. C’est pourquoi il est important de faire une recherche de mots clés et de les inclure dans vos textes et communications web. De cette façon, votre site aura plus de potentiel à apparaître dans les résultats de recherche de vos potentiels clients. 

 

Le web étant dominé par le contenu anglophone, spécialement au Québec, c’est une opportunité de se démarquer des géants en offrant du contenu de qualité en français. De plus, plusieurs marques et fabricants anglophones ne prennent pas le temps d'optimiser leur contenu francophone. C’est donc une opportunité pour vous de vous démarquer dans cette langue.  Les moteurs de recherches prennent également en compte la localisation de l’utilisateur lors de sa recherche. Si votre contenu est dans la bonne langue et proche de lui, vous aurez d’autant plus de chances de, premièrement, apparaître et, deuxièmement, être son choix pour répondre à ses questions. 

 

En plus de respecter la loi, offrir un service à la clientèle à la hauteur et optimiser la découvrabilité de votre site web, offrir un site web en français contribue à la santé de notre langue. Nous vous invitons à suivre nos activités avec l’OQLF afin de vous familiariser à l’intégration du français dans votre quotidien numérique.. 

Vous voulez de l’aide pour accomplir ce projet ou mieux utiliser le français en milieu de travail? N'hésitez pas à nous contacter pour un accompagnement!


Les indicateurs de performance à suivre absolument en marketing web

Déployer des efforts en marketing web demande des ressources, qu’elles soient humaines ou financières. Est-ce que les retombées sur les activités de l’entreprise sont satisfaisantes? Est-ce que vos articles de blogue vous font connaître auprès de clients potentiels? Est-ce que vos publications sur les médias sociaux attirent des clients? Le seul moyen de le savoir est de suivre des indicateurs de performance incontournables à toute stratégie numérique.

Savoir quoi mesurer

Avant de choisir un indicateur de performance à suivre, il faut vous poser des questions sur l’objectif poursuivi: que souhaitez-vous accomplir via vos actions numériques? Cette première étape est importante, car elle permettra ensuite de choisir les actions concrètes qui seront mises en place pour atteindre cet objectif. C’est seulement à la suite de cette réflexion qu’il vous sera possible d’identifier les mesures pertinentes à suivre. 

Par exemple, une entreprise souhaite fidéliser ses clients actuels (objectif) afin d’augmenter ses ventes. Elle peut alors choisir de mettre en place une nouvelle infolettre (action concrète) personnalisée et centrée sur les ’intérêts des clients (action concrète). Sachant cela, l’entreprise est maintenant prête à déterminer les bons indicateurs de performance à suivre pour s’assurer que la stratégie contribue à l’atteinte de son objectif. 

Note éditoriale: si vous lisez régulièrement notre blogue, vous constatez probablement que la définition d’objectifs est un conseil récurrent. Cette étape est souvent négligée alors qu’elle est primordiale lorsqu’il y a un  investissement de ressources. Même si tout vous semble important, il faut avoir un but précis. Sinon, à vouloir viser un peu partout, vous risquez de n’aller nulle part!

Les principaux indicateurs de performance (KPI) à surveiller

Les indicateurs de performance varient selon la nature de l’objectif choisi. En général, un objectif appartient à l’une des catégories suivantes: 

  1. Notoriété : en lien avec le nom de l’entreprise, sa réputation, sa visibilité, l’appréciation que le public lui porte;
  2. Engagement : en lien avec un comportement envers l’entreprise, une intention d’achat, la considération de l’entreprise pour un achat futur, la compréhension des attributs de la marque;
  3. Réaction : en lien direct avec une action concrète réalisée par le client (achat, abonnement, téléchargement, etc.). 

Les KPIs reliés à la notoriété

La portée

Ce qu’il signifie concrètement : le nombre de personnes qui ont été exposé à un contenu. 

Pourquoi le suivre : évaluer une publicité en ligne, des publications médias sociaux ou les vues d’une vidéo promotionnelle publiée sur différents canaux.

Le volume de recherche pour la marque

Ce qu’il signifie concrètement : le nombre de requêtes sur les moteurs de recherches générées par des mots-clés directement liés au nom de votre entreprise.

Pourquoi le suivre : mesurer les retombées d’actions hors-numérique. Par exemple, la commandite d’un événement ou une distribution d’échantillons gratuits.

Le pourcentage de nouvelles visites

Ce qu’il signifie concrètement : la proportion d’utilisateurs qui ont visité votre site web pour la première fois par rapport au nombre d’utilisateurs total.

Pourquoi le suivre : évaluer l’impact d’une campagne publicitaire auprès d’une nouvelle clientèle cible.

Les KPIs reliés à l’engagement

Les interactions

Ce qu’il signifie concrètement : les actions (ex: mention J’aime, commentaires) réalisées par des utilisateurs qui ont été exposé à votre contenu. 

Pourquoi le suivre : mesurer l’engagement envers le contenu que vous créez, principalement sur les médias sociaux (Facebook, Instagram, TikTok, LinkedIn, etc).

Le taux d'ouverture

Ce qu’il signifie concrètement : la proportion d’abonnés qui ont ouvert une infolettre par rapport au nombre total d’envois effectués.

Pourquoi le suivre : évaluer l’intérêt de l’audience envers le contenu envoyé via une infolettre.

Le taux de clics

Ce qu’il signifie concrètement : le nombre de clics par rapport au nombre total d’impressions (vues).

Pourquoi le suivre : déterminer le type de publications médias sociaux ou les liens d’une infolettre qui génèrent le plus de trafic vers le site web.

Les indicateurs de performance reliés à la réaction

Les conversions

Ce qu’il signifie concrètement : le nombre de visiteurs sur le site web qui ont été convertis en clients. 

Pourquoi le suivre : mesurer la capacité de notre site web à convertir un visiteur en client (ex: achat, téléchargement d’un document, soumission d’un formulaire).

Le taux d’abandon

Ce qu’il signifie concrètement : le nombre de visiteurs d’un site web qui ont ajouté des produits à un panier d’achat et qui n’ont pas complété leur transaction.

Pourquoi le suivre : mesurer le nombre de visiteurs qui ont eu l’intention d’acheter sur le site e-commerce de l’entreprise mais qui se sont ravisés.

Le retour sur l’investissement publicitaire (ROAS)

Ce qu’il signifie concrètement : le retour sur investissement de la publicité payée au cours d’une période de temps donnée.

Pourquoi le suivre : valider la performance d’une stratégie publicitaire axée sur la conversion (ex: Google Ads) et s’assurer que l’argent investi génère des ventes d’une valeur supérieure à l’investissement.

Pour calculer le ROAS: ventes générées par la publicité ÷ le coût de la publicité.

Les sources de données potentielles

Une fois que vous avez identifié l’indicateur de performance le plus pertinent à votre objectif, il faut s’assurer que vous avez accès aux données nécessaires pour suivre cet indicateur. Pour plusieurs des indicateurs de performance présentés précédemment, des sources de données gratuites existent:

  1. Google Analytics : pour tous les indicateurs directement liés à votre site web (provenance des utilisateurs, comportement sur le site, conversions), c’est la source de données la plus complète et précise. C’est un incontournable, particulièrement pour les sites de e-commerce et les entreprises qui font de la publicité en ligne. La plateforme évoluera vers Google Analytics 4 en juillet 2023, nous vous recommandons de faire votre migration dès maintenant, si ce n’est toujours pas fait! 
  2. Médias sociaux : les volets dédiés aux entreprises sur les médias sociaux (ex: Meta Business suite) contiennent toutes les informations nécessaires pour mesurer la portée, les interactions sur vos publications et le taux de clic. Combinés à d’autres outils comme Google Analytics, vous pouvez également aller plus loin et mesurer le ROAS ou les nouvelles visites sur le site générées par une plateforme précise. 
  3. Site web : si vous êtes sur une plateforme e-commerce (Wix, WooCommerce, Shopify), vous avez accès à beaucoup de données sur le comportement d’achat de vos utilisateurs et la performance de vos pages de contenu ou de produits. La majorité des plateformes vous présentent notamment le taux de conversion et le taux d’abandon comme des indicateurs clés. 

Plateforme de marketing relationnel (MailChimp, Dialog Insight, CyberImpact): c’est le meilleur endroit pour évaluer la performance de votre infolettre. Ces plateformes vous proposent entre autres le taux d’ouverture et le taux de clic sur les contenus de chaque infolettre. Avec certains forfaits et en combinant à votre site e-commerce, vous pouvez également mesurer les ventes générées directement via l’infolettre.

Pour connaître encore plus de KPIs potentiels pour mesurer vos actions de marketing numérique, consultez la réécoute de notre formation sur le sujet. Si vous avez besoin d’accompagnement pour déterminer les bons indicateurs à suivre en fonction de votre objectif ou pour interpréter vos résultats, contactez-nous.

 


Les 4 grandes étapes d’une stratégie d’infolettre performante

Vous êtes vous déjà demandé comment fidéliser votre clientèle davantage? Comment faire connaître rapidement vos promotions ou nouveaux produits à vos clients? Comment partager votre expertise ou l’histoire de votre entreprise avec vos clients et partenaires? L’infolettre est le médium idéal pour transmettre ce type d’information efficacement à des gens déjà intéressés par votre entreprise. Étant le canal avec le meilleur taux de conversion en 2022, une stratégie de marketing par courriel est tout à fait pertinente pour faire croître votre base de données et, par le fait même, votre entreprise.

Si vous pensez vous lancer, mais ne savez pas par où commencer, nous démystifions ici les grandes étapes de mise en place ainsi que nos trucs et astuces pour bien optimiser votre stratégie.

La mise en place d’une stratégie d’infolettre

Pour devenir performante, une stratégie d’infolettre doit être réfléchie et mise en place de façon appropriée. Pour ce faire, il y a 4 grandes étapes à accomplir afin de déployer la stratégie d’infolettre. Voyez comment y arriver de manière efficace.

Étape 1 : l’inspiration et les réflexions

Cette étape consiste à se poser des questions afin de définir ce que l’on recherche à faire avec notre infolettre. C’est un bon moment pour ressortir vos inspirations! Trouvez des idées à partir de ce que font vos concurrents ou d’infolettres que vous trouvez jolies. 

  • Qu’aimez-vous lire comme infolettre ou recevoir comme contenu
  • Qu’est-ce qui fait que vous aimez ou non être abonnés à une infolettre?

Vous devez aussi prendre le temps de vous demander ce que vous avez envie de partager avec vos clients et ce qu’ils pourront retirer de votre infolettre. Qu’est-ce qui fera que vos clients auront envie de s’abonner à votre infolettre et continuer de la lire? Faites une liste des sujets que vous souhaitez aborder dans vos infolettres. Est-ce que ce sont des promotions, des contenus éducatifs sur vos produits, des articles de blogue? Ces questions vous permettront de tracer la vocation que prendra votre infolettre et du contenu que vous devrez créer pour y parvenir.

Avant de vous lancer, vous devriez également établir l’objectif de votre infolettre. Pour quelles raisons désirez-vous mettre en place cette stratégie? Quel objectif désirez-vous atteindre par cette action de communication? Quelques exemples d’objectifs seraient : augmenter vos ventes en ligne de l’entreprise, augmenter vos inscriptions à vos cours ou votre activité, éduquer vos clients sur votre produits/services, etc. 

Étape 2 : la mise en place

Maintenant que vous avez une bonne idée de ce que vous souhaitez accomplir avec votre infolettre, il est temps de s’y mettre et d’établir la fondation de votre stratégie. Vous aurez quelques grandes décisions à prendre afin de simplifier la suite. 

D’abord, vous devez choisir le logiciel d’infolettre et vous créer un compte. Afin de déterminer le meilleur outil pour votre entreprise, voici quelques éléments à considérer. 

  • La simplicité de l’utilisation et le langage : Certains outils ne sont disponibles qu’en anglais. Si vous n’êtes pas à l’aise, nous vous recommandons de regarder pour des solutions en français. Aussi, certaines interfaces sont plus simples que d’autres d’utilisation. Si c’est votre première fois, un outil simple est une meilleure idée. 
  • L’automatisation : L’option de création des séquences automatisées peut être intéressante pour accueillir les nouveaux abonnés ou souligner leur anniversaire. Considérez cette fonctionnalité dans votre décision.
  • La segmentation : Assurez-vous que l’outil permet de segmenter vos abonnés. Que ce soit pour identifier vos clients en boutique, séparer les gens par tranche d’âge ou par lieu de résidence, la segmentation de la liste est essentielle pour personnaliser vos messages et ainsi convertir davantage. 
  • Le tarif : Vous devez vous assurer que les options dont vous avez besoin sont disponibles pour un prix qui correspond à votre budget. Plusieurs outils offrent des versions gratuites, mais celles-ci ont des options limitées.

Une fois l’outil choisi, vous aurez quelques éléments à configurer avant de commencer à collecter des adresses courriels. D’abord, prévoyez vos différents segments de clients afin de commencer dès le départ à les personnaliser. Créer une ou plusieurs boîtes de captures afin de collecter les adresses des clients. Vous voulez être en mesure de collecter les adresses de vos clients sur votre site web et qu’elles soient automatiquement ajoutées et segmentées dans votre liste de contacts. 

Ensuite, vous devez créer une séquence de courriel de bienvenue. Souvenez-vous, lorsque vous vous êtes inscrit à une infolettre, vous recevez habituellement un courriel de confirmation qui vous souhaite la bienvenue. Il peut contenir une promotion exclusive, une introduction des contenus présentés dans les infolettres à venir ou tout autre accroche. Ce courriel sera envoyé chaque fois qu’une nouvelle personne s’abonne à votre infolettre.

La création d’un calendrier de publications permettra de structurer les envois suivants. Selon le type d’entreprise que vous avez, certains courriels réguliers peuvent être créés à l’avance afin que vos abonnés reçoivent le même message au moment opportun. Vous pourrez ensuite combler les vides avec des courriels périodiques ou sporadiques. 

Finalement, il faut établir des objectifs quantitatifs pour votre stratégie. Combien d’abonnés souhaitez-vous acquérir? En combien de temps? Et selon le type d’entreprise, vous pourriez opter pour des objectifs misant sur la vente, la complétion de formulaire, l’inscription à un cours, etc. 

Étape 3 : faire connaître votre infolettre

Maintenant que votre stratégie est réfléchie, que votre outil est en place et que vous êtes prêt à envoyer des courriels, il est temps de récolter des abonnés. Où se trouvent vos clients et où seraient-ils susceptibles de vouloir s’abonner à votre infolettre? 

Ça semble facile, mais c’est l’élément clé de votre stratégie de marketing par courriel. Si personne ne vous lit, vous perdrez votre temps. Vous devez donc diffuser l’information le plus possible afin de faire croître votre liste de contacts. Voici quelques suggestions afin de récolter des adresses.

  • Demander à vos clients de s’abonner. Que ce soit en boutique ou sur le web, ceux-ci sont déjà intéressés par votre produit. 
  • Proposer l’abonnement sur toutes vos plateformes; site web, médias sociaux et autres. Il faut que celle-ci soit visible le plus possible. 
  • Mettre en place un concours pour récolter des adresses courriel.
  • Parler de votre infolettre lorsque vous parlez à des clients potentiels, lors de conférences ou autres.

Étape 4 : Analyse et optimisation

Une fois toutes les étapes précédentes franchies et l’envoi d’une première infolettre effectué, le travail en continu débute. C’est important d’analyser les données et les résultats de vos actions. Est-ce que vos clients s’abonnent? Est-ce que les gens sont engagés avec votre contenu? Est-ce que les abonnés se convertissent en client à la suite de votre infolettre? Est-ce que les gens se désabonnent rapidement de votre infolettre? 

Avec ces réponses, il vous sera possible de trouver des solutions aux problèmes et d’optimiser votre infolettre pour de meilleurs résultats. 

Votre infolettre ne convertit pas les clics en ventes : est-ce que la page vers laquelle vous guidez les utilisateurs répond vraiment à ce que vous leur proposez? Vers le bon produit? 

Les gens ne s’abonnent pas à votre infolettre? Est-ce que les boîtes de collectes de données sont assez visibles? Est-ce que les gens savent que vous avez une infolettre? 

L’optimisation de votre infolettre est un travail de longue haleine, mais c’est une activité essentielle pour que votre stratégie demeure performante. 

Que ce soit pour commencer votre stratégie d’infolettre, sélectionner le bon outil ou pour optimiser vos actions, Virage numériQC peut vous aider à chacune des étapes. Contactez-nous pour en savoir plus sur votre admissibilité à l’un de nos programmes d’accompagnement.

Pour en savoir plus sur la stratégie d’infolettre, faites la réécoute de la formation Infolettre : l’outil indispensable de la relation client par Karoline Deschênes.

 


Article-Marketing-Contenu

Le marketing de contenu expliqué par Alexandre Gravel

Expert invité dans le cadre des activités de formation Virage numériQC, Alexandre Gravel poursuit avec nous la discussion sur un sujet qui le passionne: le marketing de contenu. Co-fondateur de Toast Studio, il est une référence pour tout ce qui concerne la création de contenu d’entreprise. Il nous partage ici les incontournables d’une stratégie de contenu performante.

Pourquoi développer une stratégie de contenu?

D’abord, clarifions un point important: la création de contenu n’est pas un moyen de vendre mais plutôt de créer un lien avec la clientèle. D’entrée de jeu, Alexandre Gravel nous précise: « les retombées ne seront pas monétaires, ou très rarement, mais il y aura toujours des retombées, celles-ci étant davantage de la notoriété et de la considération envers la marque ». C’est donc une stratégie générant des retombées à long terme, plutôt qu’une tactique à court terme.

Ainsi, il faut trouver un moyen efficace d’attirer la clientèle vers le contenu, et non vers le produit ou le service. C’est lorsqu’un client potentiel devient fidèle à un contenu que le produit entre en jeu: c’est alors le bon moment de le guider tranquillement vers l’achat.

Intéresser l’audience sans l’interrompre

Comment créer un contenu qui intéressera réellement notre audience? Il y a un seul élément à garder en tête selon Alexandre Gravel: s’assurer que le contenu a une valeur pour la personne qui le consulte. Autrement dit, on ne veut pas interrompre la personne qui est ciblée par notre contenu dans ses activités quotidiennes mais plutôt lui proposer un contenu qui lui apporte un bénéfice.

Pensez à un journal numérique qui propose un article sponsorisé par une marque de prêt-à-boire sur les plus beaux endroits où pique-niquer cet été: c’est un exemple concret de l’intégration d’un contenu à la consommation quotidienne de l’audience cible. En comparaison, une publicité de la même marque dans le fil de l’article serait venu interrompre le lecteur.

Pas beaucoup de ressources? Pas de problème!

Travailler avec un canevas dans le développement d’une stratégie de contenu permet de s’assurer que tous les éléments déterminants sont considérés. Afin de le remplir de manière efficace sans brûler d’étape, Alexandre Gravel suggère de lire le canva à sens antihoraire: débuter avec la réflexion sur les objectifs et les segments d’audience avant de se questionner sur les meilleurs canaux à utiliser.

Tout cela vous semble beaucoup? Et pourtant, l’utilisation du canvas peut se faire sans pression: travaillez une section à la fois (ex: chaque mois) et ajustez la stratégie en conséquence. Mine de rien, en moins d’un an, l’entreprise bénéficiera d’une stratégie de contenu complète, un levier qui aura des retombées concrètes sur ses activités commerciales.

Maximiser le contenu créé

Il est également tout à fait possible de mettre en place une stratégie de contenu avec peu de moyens grâce à une tactique très simple: faire plus avec moins. Alexandre Gravel rappelle qu’« avoir une stratégie de contenu ne demande pas de faire beaucoup de contenu mais de bien le faire ».

L’idée est donc de créer quelques contenus de marque très forts, qui auront une durée de vie assez longue et auxquels il sera possible d’appliquer les 3R, un moyen de création fortement recommandé par Alexandre Gravel:

  • Réutiliser : publier un même contenu plus d’une fois (il ne faut pas être gêné!)
  • Recycler : transformer le contenu en un autre format (une longue vidéo longue peut très bien devenir une courte story sur Instagram)
  • Rafraîchir : utiliser un contenu qui a bien performer dans le passé et le réviser au goût du jour (les ‘’dernières’’ tendances ne restent pas longtemps les dernières)

Peu importe la stratégie adoptée pour maximiser la création de contenu, « il ne faut pas avoir peur de se répéter, car les gens ne vous suivent pas sur toutes les plateformes ».

À faire et à ne pas faire en stratégie de contenu

L’erreur typique à éviter

Alexandre Gravel est catégorique: ne pas réussir à planifier du contenu à l’avance et rester en mode réactif plutôt que proactif peut grandement nuire à l’efficacité d’une stratégie de contenu. Par contre, la solution n’est pas bien loin: « idéalement, une marque devrait avoir environ trois mois d’avance sur le contenu, évidemment, en laissant de la place pour des contenus plus agiles, plus sur-le-moment ».

Les dernières tendances

Inspiré directement des 3R, l’une des tendances actuelles est…d’en faire moins! Comment? En misant sur l’exploitation du contenu plutôt que sur la création du contenu. Par exemple, si un article de blogue de 500 mots fonctionne bien, il est possible de le retravailler afin d’en faire un article de 1000 mots pour engager davantage l’audience. Il est même possible de transformer ces 500 mots en une courte vidéo dans laquelle exactement le même sujet serait abordé.

Un autre moyen efficace de créer du contenu actuellement est de miser sur la co-création, qui peut se décliner de différentes façons. Il est possible de donner la voix à quelqu’un d’autre, par exemple, à un fournisseur, pour qu’il parle de son produit. C’est gagnant pour les deux parties! D’un côté, le fournisseur parle directement de son produit et, de l’autre côté, le distributeur a un contenu authentique sur un produit qu’il offre.

Il est également envisageable de faire appel à des créateurs de contenu qui connaissent certaines plateformes et leurs tendances mieux que vous. Un bon exemple: Mordu, de Radio-Canada, a confié la création de contenu de son compte TikTok à une créatrice bien établie sur cette plateforme. Ainsi, les faux-pas sont évités et le contenu créé correspond davantage aux attentes de l’audience présente sur TikTok!

Si Alexandre Gravel vous a convaincu de vous lancer dans le marketing de contenu, 100% NumériQC peut vous aider à débuter ou à optimiser ce que vous avez déjà commencé à mettre en place!


La publicité Facebook et Instagram : par où commencer?

Votre site web est beau et plein d’informations, mais personne ne le visite? Vous organisez un événement d’envergure et souhaitez vendre plus de billets? Vous venez tout juste d’ouvrir votre commerce et souhaitez rejoindre plus de clients? Savez-vous que 80% des gens effectuent une recherche en ligne avant de procéder à un achat?

La publicité Facebook et Instagram peut grandement vous aider à vous faire découvrir et à atteindre vos objectifs. Voyez cet outil comme un complément à votre stratégie numérique sur Facebook et Instagram. Que ce soit pour mettre de l’avant une publication populaire ou créer de toutes pièces votre propre publicité, vous trouverez dans cette chronique les trucs et astuces pour débuter et optimiser vos campagnes publicitaires sur les réseaux de Meta. Pour ceux qui sont moins familiers avec cette appellation, Meta est l’entreprise mère qui regroupe Facebook et Instagram.

Les bases de la publicité Facebook et Instagram​

La Meta Business Suite permet aux entreprises de créer et gérer des publicités sur plusieurs médias sociaux, dont Facebook, Instagram et Messenger. C’est l’outil central dans lequel vous pourrez créer vos publications régulières, mettre de l’argent derrière celle-ci ou accéder au gestionnaire de publicités afin de créer les vôtres de toutes pièces.

Débutons par la base, vous avez deux options pour faire de la publicité sur ces médias sociaux, mettre de l’avant une publication ou créer des publicités de type Dark Post. Ces deux options ont leurs avantages et inconvénients et, surtout, une utilisation qui leur est propre.

Les publications mises de l’avant

Cette option permet de mettre de l’avant une publication importante de la page. Que ce soit l’annonce d’un événement, le lancement d’un nouveau produit ou l’ouverture d’une boutique, mettre de l’avant une publication déjà engageante lui permettra d’atteindre une plus grande audience. Les publications qui performent déjà bien et attirent l’attention auront un plus grand impact lorsque mise de l’avant qu’une publication qui n’intéresse pas nos abonnés.

Avantage : c’est rapide à mettre en place et ça s’intègre bien à votre stratégie médias sociaux existante.

Désavantage : c’est moins flexible que le format d’une publicité de type Dark Post Facebook.

Les Dark Posts Facebook

Cette option permet de créer des publicités indépendamment des publications sur la page de l’entreprise. Ces publicités ne seront alors visibles que par les gens ciblés par celles-ci. Comme ce sont des publicités qui s’adressent à une cible précise, vous devez faire d’autant plus attention pour choisir votre audience afin de rejoindre les bonnes personnes.

Avantage : c’est très flexible sur le format et il est possible de créer des carrousels d’images, des diaporamas, d’utiliser des vidéos, des images et plus encore.

Désavantage :  cette technique demande un peu plus de temps et de réflexion stratégique avant d’être mise en place. Il faut penser au budget, au format des publicités, aux textes et aux images, au placement désiré, etc.

Les avantages du placement publicitaire sur Facebook et Instagram

La publicité sur les réseaux sociaux peut, d’une certaine manière, être comparée à la publicité traditionnelle. En effet, dans les deux cas, l’objectif est de rejoindre le consommateur et de lui présenter votre produit ou service. Dans le même principe, vous payez pour de l’affichage et vous souhaitez donc rejoindre le plus grand nombre d’intéressés possible. Malgré tout, la publicité numérique se démarque de la publicité traditionnelle de plusieurs façons.

  • La portée de l’audience de la publicité sur les réseaux sociaux est très importante. En effet, ces plateformes prennent de plus en plus de place dans la vie de plusieurs et elles atteignent des sommets d’utilisateurs. Instagram a maintenant plus de 1,5 milliards d’utilisateurs2. On dit même que la publicité sur Instagram atteint 30% des internautes dans le monde2. Pour Facebook, c’est près de 3 milliards d’utilisateurs dans le monde2.
  • Ce type de publicité permet de rejoindre une cible plus précise. Lorsque l’on utilise un panneau publicitaire en bord de route, on espère que les gens qui passeront par là seront intéressés par notre produit. Lorsque l’on se sert de Facebook, on peut déjà choisir le type de personne que l’on souhaite rejoindre afin d’augmenter nos chances de conversion.
  • La diversité des formats est assez impressionnante!C’est de plus en plus facile de créer un diaporama avec différentes images ou produits, une page complète pour reproduire l’expérience d’un site web directement sur Facebook ou d’utiliser la dernière vidéo produite par votre équipe. Ça permet ainsi de diversifier votre approche et de trouver la formule qui convient le mieux pour votre entreprise.
  • Le budget est toujours un enjeu lorsque l’on parle de publicité. Ce n’est pas toujours facile de prévoir le bon montant ou d’avoir assez de fonds pour faire une publicité télé, par exemple. Sur les médias sociaux, l’avantage est que l’on a un parfait contrôle de la dépense. En effet, on peut présélectionner le montant à dépenser par jour ou par mois et arrêter la diffusion en tout temps. Cette possibilité permet de ne pas dépasser votre budget et, surtout, d’éviter de dépenser pour une publicité qui ne fonctionne pas.
  • Les statistiques sont faciles d’accès et assez simples à analyser. On peut donc rapidement voir si une publicité a atteint sa cible. Est-ce qu’elle a généré des ventes? Des visites sur le site? Ou des inscriptions à l’événement? L’outil d’analyse des médias sociaux permet de voir ce qui fonctionne le mieux et d’adapter, au besoin, les prochains contenus afin qu’ils répondent mieux aux besoins.

Les essentiels à ne pas oublier

Pour terminer, voici quelques éléments à ne pas oublier pour bien réussir votre stratégie de publicité numérique.

  • Surtout si vous faites de la vente en ligne, n’oubliez pas d’installer sur votre site web le Pixel de Facebook. Celui-ci vous permettra de mieux suivre les résultats de votre publicité.
  • Prenez le temps de créer et de bien connaître vos personas. Qui voulez-vous rejoindre? Qui sont vos clients actuels? Ceci vous permettra de choisir la bonne audience pour vos publicités et de parler aux bonnes personnes.
  • Assurez-vous de toujours inclure un appel à l’action. Utilisez un lien vers le site web, un numéro de téléphone et une réponse à un événement pour guider les utilisateurs vers l’action que vous souhaitez les voir prendre.
  • Respectez votre image de marque. C’est tentant de créer toutes sortes de visuels et de messages sur les médias sociaux, mais si vos clients ne vous reconnaissent pas, ils ne vous visiteront pas.

Pour en apprendre encore plus sur la publicité Facebook et ses technicalités, voyez ou revoyez la formation de Florent Garnerot offerte par Virage numériQC sur la publicité Facebook et Instagram. Besoin d’aller plus loin? Notre équipe-conseil peut vous épauler.